Oeuvres de Jacques Delille: Les jardinsChez Giguet et Michaud, 1820 |
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... malheur des hommes : voilà la seule sensibilité que veulent recon- naître plusieurs , écrivains . Il en est une beau- coup plus rare et non moins précieuse : c'est celle qui se répand , comme la vie , sur toutes les parties d'un ouvrage ...
... malheur des hommes : voilà la seule sensibilité que veulent recon- naître plusieurs , écrivains . Il en est une beau- coup plus rare et non moins précieuse : c'est celle qui se répand , comme la vie , sur toutes les parties d'un ouvrage ...
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... Malheur à ceux dont l'imagination peut descendre des objets les plus élevés aux tracas des petites passions indi- gnes d'un homme de lettres ! je crois voir ces mouches brillantes de toutes les couleurs de la lumière , qui , après s ...
... Malheur à ceux dont l'imagination peut descendre des objets les plus élevés aux tracas des petites passions indi- gnes d'un homme de lettres ! je crois voir ces mouches brillantes de toutes les couleurs de la lumière , qui , après s ...
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... malheur avec moins de décence . La poésie est amusante dans les temps de prospérité , vertueuse dans les temps de dé- pravation , et consolante dans les temps de ty- rannie ; d'ailleurs à ces époques malheureuses , des distractions ...
... malheur avec moins de décence . La poésie est amusante dans les temps de prospérité , vertueuse dans les temps de dé- pravation , et consolante dans les temps de ty- rannie ; d'ailleurs à ces époques malheureuses , des distractions ...
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... malheur ou le crime ; surtout elle ramène ceux qui la culti- vent dans la solitude et la retraite , les asiles les plus sûrs contre la tyrannie : c'est là seulement qu'on peut retenir quelques restes de liberté , et qu'on peut du moins ...
... malheur ou le crime ; surtout elle ramène ceux qui la culti- vent dans la solitude et la retraite , les asiles les plus sûrs contre la tyrannie : c'est là seulement qu'on peut retenir quelques restes de liberté , et qu'on peut du moins ...
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... 'ai vivement senti les malheurs , et qui m'a laissé un profond souve , nir de ses délices et de ses bienfaits . * N. Monciau del . P.P.Cheffard sculp Mais l'art subjugue tout 28 PREFACE . tée Je dois les mêmes remercîmens à ceux qui, ...
... 'ai vivement senti les malheurs , et qui m'a laissé un profond souve , nir de ses délices et de ses bienfaits . * N. Monciau del . P.P.Cheffard sculp Mais l'art subjugue tout 28 PREFACE . tée Je dois les mêmes remercîmens à ceux qui, ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 217 - Insuperable height of loftiest shade, Cedar, and pine, and fir, and branching palm, A sylvan scene ; and as the ranks ascend, Shade above shade, a woody theatre Of stateliest view.
Page 83 - Viens , non le front chargé des nuages affreux Dont marche enveloppé le chagrin ténébreux , Mais l'œil demi-voilé, mais telle qu'en automne A travers des vapeurs un jour plus doux rayonne : Viens le regard pensif, le front calme, et les yeux Tout prêts à s'humecter de pleurs délicieux.
Page 218 - Which from his darksome passage now appears ; And now, divided into four main streams, Runs diverse, wandering many a famous realm And country, whereof here needs no account...
Page 83 - Tel est le sort commun. Bientôt les aquilons Des dépouilles des bois vont joncher les vallons De moment en moment la feuille sur la terre En tombant interrompt le rêveur solitaire. Mais ces ruines même ont pour moi des attraits. Là, si mon cœur nourrit quelques profonds regrets...
Page 154 - Pâles, veillaient, brûlaient, se consumaient pour Dieu. Le saint recueillement, la paisible innocence Semble encor de ces lieux habiter le silence ; La mousse de ces murs, ce dôme, cette tour, Les arcs de ce long cloître impénétrable au jour, Les degrés de l'autel usés par la prière, Ces noirs vitraux, ce sombre et profond sanctuaire Où peut-être des cœurs, en secret malheureux , A l'inflexible autel se...
Page 218 - A happy rural seat of various view ; Groves whose rich trees wept odorous gums and balm, Others whose fruit, burnish'd with golden rind, Hung amiable (Hesperian fables true, If true, here only), and of delicious taste...
Page 160 - Toi surtout, brave Cook, qui, cher à tous les cœurs, Unis par les regrets la France et l'Angleterre ; Toi qui, dans ces climats où le bruit du tonnerre Nous annonçait jadis, Triptolème nouveau , Apportais le coursier...
Page 97 - Hélas ! je n'ai point vu ce séjour enchanté , Ces beaux lieux où Virgile a tant, de fois chanté ; Mais, j'en jure et Virgile et ses accords sublimes! J'irai; de l'Apennin...
Page 51 - Là, du sommet lointain des roches buissonneuses, Je vois la chèvre pendre ; ici de mille agneaux L'écho porte les cris de coteaux en coteaux. Dans ces prés abreuvés des eaux de la colline, Couché sur ses genoux, le bœuf pesant rumine Tandis qu'impétueux, fier, inquiet, ardent, Cet animal guerrier qu'enfanta le trident Déploie, en se jouant dans un gras pâturage, Sa vigueur indomptée et sa grâce sauvage.
Page 218 - With mazy error under pendent shades Ran Nectar, visiting each plant, and fed Flowers worthy of Paradise, which not nice art In beds and curious knots, but nature boon Pour'd forth profuse on hill, and dale, and plain, Both where the morning sun first warmly smote The open field, and where the unpierced shade Imbrown'd the noontide bowers. Thus was this place A happy rural seat of various view...