Les diplomates européens, Volumes 3-4 |
What people are saying - Write a review
We haven't found any reviews in the usual places.
Other editions - View all
Common terms and phrases
affaires anglaise appelé assez aurait Autriche avaient baron besoin bonne c'était cabinet caractère cardinal cause Chambre Charles choses circonstance comte conditions conseil considérables côté cour d'État Decazes devait diplomatie dire donner enfin époque esprit événements faisait fallait famille force formes fortune française garde général gouvernement Grèce guerre haute hommes idées intérêts j'ai jeter jeune jour l'Angleterre l'Autriche l'empereur l'Empire l'esprit l'Europe laisser libéral liberté lord Louis lutte main maison manière marquis Martignac ment Metternich ministre mission monarchie monde moyen n'avait n'était Napoléon négociations noble Normanby nouveau nouvelle paix Palmerston pape parlement parole passé pays pensée Périer peuple place Polignac politique Porte position pouvait pouvoir première presque prince profondément Prusse puissance qu'un question rapports Restauration reste révolution révolution de Juillet rien Rome royaliste Russie s'était sentiment serait sérieux seul situation sorte souvent souverain spécialement surtout système tion traité trouvait véritable vieille Vienne Villèle vive voulait voyait XVIII
Popular passages
Page 141 - Français, et notre auguste prédécesseur, fit don aux évêques de Rome de diverses contrées, il les leur céda à titre de fief, pour assurer le repos de ses sujets, et sans que Rome ait cessé pour cela d'être une partie de son empire ; Considérant que , depuis ce temps , l'union des deux pouvoirs, spirituel et temporel...
Page 186 - Monsieur le comte, < J'ai reçu la lettre que vous avez bien voulu m'écrire contenant l'ordonnance du Roi, datée de ce matin, 6 juin, qui vous confie le portefeuille des Affaires Etrangères.
Page 141 - Considérant que, depuis ce temps, l'union des deux pouvoirs spirituel et temporel a été, comme elle est encore aujourd'hui, la source de continuelles discordes; que les souverains pontifes ne se sont que trop souvent servis de l'influence de l'un pour soutenir les prétentions de l'autre, et que, par cette raison, les affaires spirituelles, qui de leur nature sont immuables, se trouvent...
Page 185 - Monsieur le vicomte, J'obéis aux ordres du Roi en transmettant de suite à Votre Excellence une ordonnance que Sa Majesté vient de rendre. Le sieur comte de Villèle, président de notre conseil des ministres, est chargé par intérim du portefeuille des affaires étrangères, en remplacement du sieur vicomte de Chateaubriand.
Page 185 - Le sieur comte de Villèle, président de notre Conseil des ministres et ministre secrétaire d'État au département des finances, est chargé par intérim du portefeuille des affaires étrangères, en remplacement du sieur vicomte de Chateaubriand.
Page 145 - Nôtre-Seigneur annonça à saint Pierre en lui disant : Vous serez dans l'âge sénile , lorsque vous étendrez vos mains et qu'un autre vous liera et vous portera là où vous ne voulez pas aller. Nous abandonnons nos mains sacerdotales à la force qui nous lie pour nous porter ailleurs, et nous déclarons les auteurs de ce fait responsables envers Dieu de toutes les conséquences de cet attentat. De notre côté nous désirons, nous conseillons , nous ordonnons que nos fidèles sujets, que notre...
Page 141 - Considérant que lorsque Charlemagne, empereur des Français, et notre auguste prédécesseur, fit don aux évêques de Rome de diverses contrées, il les leur céda à titre de fief, pour assurer le repos de ses sujets, et sans que Rome ait cessé pour cela d'être une partie de son empire...
Page 141 - La ville de Rome, premier siège du christianisme , et si célèbre par les souvenirs qu'elle rappelle et les...
Page 329 - Dieu , qui exalte et qui humilie , de • m'élever de mon insignifiance à la dignité la plus « sublime de la terre. Que sa volonté soit faite. Je « sens toute l'immensité de ce fardeau et toute la « faiblesse de mes moyens. Faites faire des prières < et priez, vous aussi, pour moi. Le conclave a duré
Page 108 - C'est vrai, répondit le maréchal, j'ai été entraîné ; j'ai eu tort, il n'ya pas le moindre doute.