Les diplomates européens, Volumes 3-4 |
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affaires Alexandre ambassadeur anglaise Angleterre autrichienne avaient Barante baron Benckendorff Bonaparte c'était cabinet caractère cardinal Pacca Casimir Périer Cent-Jours Chambre Charles Charles X choses comte d'Aberdeen comte de Stadion comte de Toreno comte Orloff comte Sébastiani conseil Decazes devait dévouement diplomatie Dom Miguel duc de Mortemart époque esprit événements fallait famille Fiquelmont force fortune général gouvernement guerre Guizot hommes d'État Humboldt idées intérêts jeune Kolowrat l'ambassade l'Angleterre l'Autriche l'empereur Nicolas l'Empire l'esprit l'Europe Léopold libéral Londres lord Normanby lord Palmerston Louis XVIII lutte maison de Bourbon Maret marquis de Normanby Martignac ment militaire ministre mission modération monarchie n'avait Napoléon négociations noble paix Palmella pape Peel pensée peuple Phips Pie VII police politique position pouvait presque prince de Metternich prince de Polignac prince royal principes Prusse puissance question reine Restauration reste révolutionnaire Robert Peel Rome Russie s'était Sainte-Aulaire sérieux seul situation souverain système tendance Thugut tion tories Vienne Villèle voulait whigs
Popular passages
Page 147 - Français, et notre auguste prédécesseur, fit don aux évêques de Rome de diverses contrées, il les leur céda à titre de fief, pour assurer le repos de ses sujets, et sans que Rome ait cessé pour cela d'être une partie de son empire ; Considérant que , depuis ce temps , l'union des deux pouvoirs, spirituel et temporel...
Page 192 - Monsieur le comte, < J'ai reçu la lettre que vous avez bien voulu m'écrire contenant l'ordonnance du Roi, datée de ce matin, 6 juin, qui vous confie le portefeuille des Affaires Etrangères.
Page 147 - Considérant que, depuis ce temps, l'union des deux pouvoirs spirituel et temporel a été, comme elle est encore aujourd'hui, la source de continuelles discordes; que les souverains pontifes ne se sont que trop souvent servis de l'influence de l'un pour soutenir les prétentions de l'autre, et que, par cette raison, les affaires spirituelles, qui de leur nature sont immuables, se trouvent...
Page 191 - Monsieur le vicomte, J'obéis aux ordres du Roi en transmettant de suite à Votre Excellence une ordonnance que Sa Majesté vient de rendre. Le sieur comte de Villèle, président de notre conseil des ministres, est chargé par intérim du portefeuille des affaires étrangères, en remplacement du sieur vicomte de Chateaubriand.
Page 191 - Le sieur comte de Villèle, président de notre Conseil des ministres et ministre secrétaire d'État au département des finances, est chargé par intérim du portefeuille des affaires étrangères, en remplacement du sieur vicomte de Chateaubriand.
Page 151 - Nôtre-Seigneur annonça à saint Pierre en lui disant : Vous serez dans l'âge sénile , lorsque vous étendrez vos mains et qu'un autre vous liera et vous portera là où vous ne voulez pas aller. Nous abandonnons nos mains sacerdotales à la force qui nous lie pour nous porter ailleurs, et nous déclarons les auteurs de ce fait responsables envers Dieu de toutes les conséquences de cet attentat. De notre côté nous désirons, nous conseillons , nous ordonnons que nos fidèles sujets, que notre...
Page 147 - Considérant que lorsque Charlemagne, empereur des Français, et notre auguste prédécesseur, fit don aux évêques de Rome de diverses contrées, il les leur céda à titre de fief, pour assurer le repos de ses sujets, et sans que Rome ait cessé pour cela d'être une partie de son empire...
Page 147 - La ville de Rome, premier siège du christianisme , et si célèbre par les souvenirs qu'elle rappelle et les...
Page 369 - Dieu , qui exalte et qui humilie , de • m'élever de mon insignifiance à la dignité la plus « sublime de la terre. Que sa volonté soit faite. Je « sens toute l'immensité de ce fardeau et toute la « faiblesse de mes moyens. Faites faire des prières < et priez, vous aussi, pour moi. Le conclave a duré
Page 112 - C'est vrai, répondit le maréchal, j'ai été entraîné ; j'ai eu tort, il n'ya pas le moindre doute.