Senac, qui, après l'avoir bien examiné, dit que ce ne seroit rien, et n'ordonna rien. Mon effroi pour mon ami me fit observer avec soin la contenance du médecin, et je le vis sourire en sortant. Cependant le malade resta plusieurs jours immobile, sans... La Minerve française - Page 361by Étienne de Jouy - 1818Full view - About this book
| Jean-Jacques Rousseau - 1817 - 710 pages
...Mon effroi pour mon ami me fit observer avec soin la contenance du médecin , et je le vis sourire en sortant. Cependant le malade resta plusieurs jours...quoi que ce fût que des cerises confites que je lui mettois de temps en temps sur la langue , et qu'il avaloit fort bien. Un beau matin il se leva, s'habilla,... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1817 - 712 pages
...Mon effroi pour mon ami me fit observer avec soin la contenance du médecin , et je le vis sourire en sortant. Cependant le malade resta plusieurs jours...quoi que ce fût que des cerises confites que je lui mettois de temps en temps sur la langue , et qu'il avaloit fort bien. Un beau matin il se leva, s'habilla... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1819 - 562 pages
...Mon effroi pour mon ami me fit observer avec soin la contenance du médecin , et je le vis sourire en sortant. Cependant le malade resta plusieurs jours...quoi que ce fût, que des cerises confites que je lui mettois de temps en temps sur la langue , et qu'il avaloit fort bien. Un beau matin il se leva , s'habilla... | |
| Jean Jacques Rousseau - 1827 - 498 pages
...rien. Mon effroi pour mon ami me fit observer avec soin la contenance du médecin, et je le vis sourire en sortant. Cependant le malade resta plusieurs jours...quoi que ce fût, que des cerises confites que je lui mettois de temps en temps sur la langue, et qu'il avaloit fort bien. Un beau matin il se leva, s'habilla... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1833 - 470 pages
...rien. Mon effroi pour mon ami me fit observer avec soin la contenance du médecin, et je le vis sourire en sortant. Cependant le malade resta plusieurs jours...immobile, sans prendre ni bouillon, ni quoi que ce fui, que des cerises confites que je lui mettois de temps en temps sur la langue, et qu'il avaloit... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1831 - 1146 pages
...Mon eflroi pour mon ami me fit observer avec soin la contenance du médecin , et je le vie sourire en sortant, Cependant le malade resta plusieurs jours...bouillon ni quoi que ce fût que des cerises confites pue je lui mettais do temps en temps sur la langue, et qu'il avalait fort bien. Un beau matin il se... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1836 - 818 pages
...Mon effroi pour mon ami me fit observer avec soin la contenance du médecin , et je le vis sourire en sortant. Cependant le malade resta plusieurs jours...quoi que ce fût, que des cerises confites que je lui uicttois de temps en temps sur la langue , et qu'il avaloit fort bien. Un beau matin il se leva, s'habilla,... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1845 - 382 pages
...rien. Mon effroi pour mon ami me fit observer avec soin la contenance du médecin, et je le vis sourire en sortant. Cependant le malade resta plusieurs jours...ni bouillon, ni quoi que ce fût, que des cerises contites que je lui mettais de temps en temps sur la langue, et qu'il avalait fort bien. Un beau matin... | |
| Ludovic Lalanne - Anecdotes - 1846 - 486 pages
...contenance du médecin, et je le vis sourire en sortant. Cependant le malade resta plusieurs jours immohile, sans prendre ni bouillon, ni quoi que ce fût, que...temps en temps sur la langue et qu'il avalait fort hien Un beau matin il se leva, s'hahilla et reprit son train de vie ordinaire, sans que jamais il m'ait... | |
| Friedrich Wilhelm Barthold - 1846 - 640 pages
...rien. Mon effroi pour mon ami me fit observer avec soin la contenance du médecin, et je le vis sourire en sortant. Cependant le malade resta plusieurs jours...quoi que ce fût que des cerises confites que je lui m с t toit de temps en temps sur la langue, et qu'il avaloit fort bien. Un beau matin il se leva,... | |
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