Philosophie du droit ecclésiastique: des rapports de la religion et de l'état |
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absolue actes âmes arrivé aujourd'hui aura autorité besoin c'est-à-dire catholique cause choses chrétienne christianisme civile clergé commun concile conditions conscience conséquent considérer Constant cour croyances culte d'être déclaration décrets dernier devant devoirs Dieu dignité dire divine doctrines dogmes doit domination donner ecclésiastique édit effet également elle-même enfin envers état évêques fond force forme général gouvernement grec hommes humaine imposer indépendance institutions jour juger jusqu'à justice l'autre l'avenir l'Eglise l'esprit l'Etat l'homme l'ordre l'une laisse Lamennais liberté liberté de conscience libre livre lois Louis lui-même mains médecine ment monde morale moyen nation national nature nécessaire non-seulement nouveau nouvelle obligé pape parler pays pensée peuples philosophie place pourra pouvoir pratique premier présente prêtres propre protestants public publique puissance puisse qu'un raison rapports réforme règles reli religieuse religion respect reste révolution rien Rome s'il saint sentiment sera seule siècle social société souverain spirituel système tion Traité trouve vérité
Popular passages
Page 27 - Nulle association de plus de vingt personnes, dont le but sera de se réunir tous les jours ou à certains jours marqué», pour s'occuper d'objets religieux, littéraires, politiques ou autres, ne pourra se former qu'avec l'agrément du gouvernement, et sous les conditions qu'il plaira à l'autorité publique d'imposer à la société.
Page 108 - Nul ne peut être responsable de ce qu'il a écrit ou publié, que dans les cas prévus par la loi. 354. Nul ne peut être empêché d'exercer, en se conformant aux lois, le culte qu'il a choisi. — Nul ne peut être forcé de contribuer aux dépenses d'un culte. La République n'en salarie aucun.
Page 96 - Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la loi.
Page 155 - Le Saint-Père désapprouve aussi et réprouve même les doctrines relatives à la liberté civile et politique, lesquelles, contre vos intentions sans doute, tendent de leur nature à exciter et propager partout l'esprit de sédition et de révolte de la part des sujets contre leurs souverains.
Page 96 - La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'homme ; tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement ; sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi.
Page 155 - L'Avenir sur la liberté des cultes et la liberté de la presse, qui ont été traitées avec tant d'exagération et poussées si loin par MM. les Rédacteurs, sont également très répréhensibles, et en opposition avec l'enseignement, les maximes et la pratique de l'Église.
Page 103 - Le droit de manifester sa pensée et ses opinions, soit par la voie de la presse, soit de toute autre manière, le droit de s'assembler paisiblement, le libre exercice des cultes ne peuvent être interdits. La nécessité d'énoncer ces droits suppose ou la présence ou le souvenir récent du despotisme.
Page 114 - Or, c'est une autre vérité consacrée par l'expérience que toutes les fois qu'il existe dans un État une religion qui est celle du plus grand nombre, il faut, ou que le gouvernement contracte avec elle une alliance fondée sur l'intérêt d'un appui réciproque, ou qu'il la détruise, ou qu'il coure le risque d'être détruit par elle.