Traité de la science des finances, Volume 2

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Guillaumin et cie, 1899 - Finance
 

Contents

laccroisse
176
Dans un moment de grande crise un État ne peut pas augmenter dans des proportions
262
Dans quelle mesure est fondé le raisonnement de Mac Culloch relativement à la possi
275
Des contributions extraordinaires sur le capital des citoyens pour éviter les gros emprunts
285
les ÉtatsUnis pendant la guerre de 1898
291
Le procédé connu sous le nom de consolidations Le paiement des fournisseurs
299
Les emprunts volontaires sadressant à lintérêt et non au patriotisme des prêteurs
307
Les emprunts publics en rentes viagères étaient autrefois très nombreux Le procédé
313
Les emprunts en annuités à terme terminable annuities De lorigine des annuités
322
Le système demprunts en bons remboursables à échéance fixe En quoi il est plus
337
De lhabitude de beaucoup dÉtats de contracter des emprunts audessous du pair
345
Le public na pas de répugnance pour les emprunts émis au pair ou aux environs
352
Appendice de la sixième édition Calcul des pertes causées au Trésor par lémission
362
De lémission directe et continue des titres dun emprunt sans souscription publique
376
Des délais de versement accordés dans les emprunts publics Utilité financière
382
Du principe de luniformité de la dette publique Yatil quelque utilité à ce que toutes
389
De la dette viagère Éléments divers de la dette viagère française
410
Des diverses fonctions de la dette flottante française Elle devient chaque jour moins
414
De lénormité de la dette flottante française en 1881 et 1891 sa composition
426

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Common terms and phrases

Popular passages

Page 4 - Tous les Citoyens ont le droit de constater, par eux-mêmes ou par leurs représentants, la nécessité de la contribution publique, de la consentir librement, d'en suivre l'emploi, et d'en déterminer la quotité, l'assiette, le recouvrement et la durée.
Page 78 - Aucun impôt ne peut être établi ni perçu, s'il n'a été consenti par les deux chambres et sanctionné par le roi.
Page 123 - ... acquittées avant la clôture des crédits de l'exercice auquel elles appartiennent, n'auraient pu, à défaut de justifications suffisantes, être liquidées, ordonnancées et payées dans un délai de cinq années, à partir de l'ouverture de l'exercice, pour les créanciers domiciliés en Europe, et de six années pour les créanciers résidant hors du territoire européen.
Page 723 - ... exportations quelconques, lorsqu'ils n'avaient pas en portefeuille des effets provenant d'exportations antérieures, et une des matières les plus propres à l'exportation est, à toutes les époques et dans toutes les circonstances, le numéraire. Ils étaient donc acheteurs de monnaies françaises. Si le Trésor raréfiait lui-même les espèces au moment où ses vendeurs de change en avaient besoin, il leur faisait, par le fait, une concurrence qui, en élevant le prix des matières d'or et...
Page 677 - Partout où se placera un assignat-monnaie , là sûrement reposera avec lui un vœu secret pour le crédit des assignats, un désir de leur solidité ; partout où quelque partie de ce gage public sera répandue , là se trouveront des hommes qui voudront que la conversion de ce gage soit effectuée , que les assignats soient échangés contre...
Page 12 - ... reconnu par le roi, et solennellement proclamé par toutes les assemblées de la nation ; principe qui s'oppose à toute levée de deniers et de contributions dans le royaume, sans le consentement formel des représentants de la nation; « Considérant qu'en effet, les contributions, telles qu'elles se perçoivent actuellement...
Page 124 - La durée de la période pendant laquelle doivent se consommer tous les faits de recette et de dépense de chaque exercice se prolonge : 1 ° Jusqu'au 1...
Page 4 - Y at-il roy ne seigneur sur terre qui ait pouvoir, outre son domaine, de mettre un denier sur ses subjects, sans octroy et consentement de ceux qui le doivent payer, sinon par tyrannie ou violence?
Page 102 - Art. 3. —Tout crédit extraordinaire forme un chapitre particulier du budget de l'exercice pour lequel il a été ouvert, à moins, en ce qui concerne les départements de la guerre et de la marine, que le service ne se rattache d'une manière indivisible à un chapitre déjà existant. Art. 4. — Dans le cas de prorogation des Chambres, tel qu'il est défini dans le paragraphe 1er de l'article 2 de la loi constitutionnelle du 16 juil...
Page 12 - Considérant qu'en effet les contributions, telles qu'elles se perçoivent actuellement dans le royaume, n'ayant point été consenties par la nation, sont toutes illégales, et, par conséquent, nulles dans leur création, extension ou prorogation...

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