Della vita e delle opere del Rev. P. D. Gioachino Ventura: ex-generale dell'ordine dei Teatini

Front Cover
Stamperia di G. Lorsnaider, 1877 - 248 pages
 

Selected pages

Other editions - View all

Common terms and phrases

Popular passages

Page 65 - ... ma vie. Elles me consolent des maux présents par l'espérance, certaine à mes yeux, de l'avenir digne de lui, de sa puissance et de sa bonté, que Dieu prépare au monde. Il s'agite et se transforme sous sa main. Nous assistons à une grande mort et à une grande naissance : seulement, nous voyons la tombe et le berceau est encore voilé. « Je prie de tout mon cœur Celui qui dispose souverainement des choses humaines de bénir les desseins qu'il inspire lui-même au Pontife vénérable dont...
Page 127 - Praedica verbum, insta opportune, importune : argue, obsecra, increpa in omni patientia, et doctrina.
Page 69 - Scitis quia principes gentium dominantur eorum, et qui majores sunt, potestatem exercent in eos. Non ita erit inter vos : sed quicumque voluerit inter vos major fieri, sit vester minister : et qui voluerit inter vos primus esse, erit vester servus ; sicut Filius Hominis non venit ministran, sed ministrare, et dare animam suam redemptionem pro multis.
Page 24 - ¡<rand que vous paroissez prêcher la révolution au nom de la religion , et que depuis un mois vous en faites l'expression d'une pensée catholique. En cela vous tombez dans l'excès contraire à celui que vous avez reproché aux gallicans...
Page 24 - Depuis que vous avez invité, excité, poussé les peuples avec toute la puissance de la parole, approuvé, loué toutes les révolutions faites, applaudi d'avance à toutes les révolutions à faire, vous avez dû soulever (1) V.
Page 64 - Le livre que je vous envoie vous appartient. C'est le résumé de ces grandes et magnifiques doctrines que vos anciens écrits ont développées dans mon esprit. De malheureuses circonstances ont pu faire croire que vous avez oublié ces doctrines qui ont fait votre gloire et votre bonheur, ainsi qu'elles font encore le mien. Mais rien n'a pu me persuader qu'elles se soient effacées de votre noble cœur. La preuve de cela est que vous n'êtes pas, à ce qu'on...
Page 65 - ... marchera jusqu'au bout avec fermeté dans la route glorieuse ouverte devant lui. Veuillez mettre à ses pieds mes vœux et mes respects. « Le petit livre qu'on m'a remis de votre part mérite toutes les louanges qu'il a reçues universellement. Je garderai le portrait (1), comme un souvenir précieux de l'ami cher et tendre à qui je suis heureux de redire avec quelle sincère et vive affection je lui serai toujours dévoué.
Page 65 - Gomme après les preuves si nombreuses que vous m'avez données, mon cher ami, je n'ai jamais douté un seul instant de vos sentiments à mon égard, vous ne pouvez non plus douter de ceux que je vous ai voués depuis si longtemps et qui ne s'éteindront qu'avec moi. Mais, toujours unis par le cœur, nous avons cessé de l'être complètement par les convictions de l'esprit. Celles que vous savez être les miennes et que vous ne pouvez partager, je le comprends, sont mon être même, ma foi, ma conscience,...
Page 64 - J'ai aussi une ambassade à vous faire : c'est de la part de l'ange que le ciel nous a envoyé, de Pie IX, que j'ai vu ce matin. Il m'a chargé de vous dire qu'il vous bénit et vous attend pour vous embrasser.
Page 64 - C'est le résumé de ces grandes et magnifiques doctrines que vos anciens écrits ont développées dans mon esprit. De malheureuses circonstances ont pu faire croire que vous avez oublie ces doctrines qui ont fait votre gloire et votre bonheur, ainsi qu'elles font encore le mien. Mais rien n'a pu me persuader qu'elles se soient effacées de votre noble cœur. La preuve de cela est que vous n'êtes pas, à ce qu'on me dit, si heureux que je veux que vous le soyez, et que vous méritez tant de l'être.

Bibliographic information