 | Michel Eyquem de Montaigne - 1727 - 496 pages
...«Ades chôfès : & me fbuvenant de Cv. mot du feu Ghancelier Olivier ± que les François fcmblenc • des guenons , qui vont grimpant contremont un arbre , de branche en branche , &• ne 'ceiïènt d'aller , jufques à ce qu'elles foyent arrivées à la plus haute branche : &... | |
 | Michel de Montaigne - French essays - 1790 - 854 pages
...de grandes chofes: & me fou venant de ce mot du feu Chancelier Olivier , que les François femblent des guenons , qui vont grimpant contremont un arbre , de branche en branche , & ne ceffent d'aller , jufques à ce qu'elles fbyent arrivées à la plus haute branche : & y montrent... | |
 | Joseph Elzéar Dominique de Bernardi - 1807 - 266 pages
...caractère des Français , qu'il comparoit aux guenons qui vont grimpant contre mont un arbre debranche en branche, et ne cessent d'aller jusqu'à ce qu'elles soient arrivées à la plus hants brandie , pour y montrer le cul, quand elles y sont (2). D'autres attribuent ce mot, mais sans... | |
 | Michel de Montaigne - French essays - 1823 - 606 pages
...i, v. 5i. ses; et me souvenant de ce mot du feu chancelier Olivier , « que les François semblent des guenons, qui vont grimpant contremont un arbre, de branche en branche, et ne cessent d'aller, iusques à ce qu'elles soyent arrivees à la plus haulte branche, pour y montrer le cul quand elles... | |
 | Michel de Montaigne - French essays - 1826 - 546 pages
...grandes choses ; et me souvenant de ce mot du feu chancelier Olivier, « que les François semblent des guenons, qui vont grimpant contremont un arbre, de branche en branche , et ne cessent d'aller, iusques à ce qu elles scyent arrivees à la plus haulte branche, et y montrent le cul quand elles... | |
 | Michel de Montaigne - 1827 - 528 pages
...grandes choses ; et me souvenant de ce mot du feu chancelier Olivier , « que les Francois semblent des guenons, qui vont grimpant contremont un arbre , de branche en branche , et ne cessent d'aller , iusques à ce qu'elles sont arrivees à la plus haulte branche; et y montrent le cul quand «lles... | |
 | Michel de Montaigne - French essays - 1828 - 406 pages
...grandes choses ; et me souvenant de ce mot du feu chancelier Olivier , « que les François semblent des guenons , qui vont grimpant contremont un arbre, de branche en branche, et ne cessent d'aller , iusques à ce qu'elles sont arrivees à la plus haulte branche ; et y montrent le cul quand elles... | |
 | Michel de Montaigne - 1870 - 666 pages
...choses; et me souvenant de ce mot du feu chancelier Olivier, « que les François semblent des guenon» qui vont grimpant contremont un arbre , de branche en branche, et ne cessent d'aller, iusques à ce qu'elles soyent arrivées à la plus baulte branche ; et y monstrent le cul , quand elles... | |
 | Michel de Montaigne - 1842 - 862 pages
...vaincre sans avoir combattu I lier.., Epia., I, 1, SI. celier Olivier , « que les François semblent ela ne se peult exprimer qu'en respondaiit : » Parce que c'estoit luy ; parce jusques à ce qu'elles soyent arrivées à la plus haulte branche, et y montrent le cul quand elles... | |
 | Electronic journals - 1887 - 698 pages
...Presumption"): — " Me souvenant de ce mot du feu chanceliier OlKvier ' que les François semblent des guenons, qui vont grimpant contremont un arbre, de branche en branche, et ne cessent d'aller, jueques à ce qu'elles soyent arrivé«« à la plus haute branche, et y montrent le cul quand elles... | |
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... de grandes choses, et me souvenant de ce mot du feu Chancelier Olivier, que les François [semblent] des guenons qui vont grimpant contremont un arbre, de branche en branche, et ne cessent d'aller jusques à ce qu'elles sont arrivées à la plus haute... 
