Histoire topographique et médicale du Grand Hôtel-Dieu de Lyon: dans laquelle sont traitées la plupart des questions qui se rattachent à l'organisation des hôpitaux en général |
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Common terms and phrases
administrateurs admis améliorations apothicaires assez attendu aujourd'hui aumôniers avantages besoin candidats centimètres chargé charité Childebert chirurgical chirurgie chirurgien principal chirurgien-major choses cimetière de Loyasse claustral clinique concours conseil conséquent considérable construction convalescents convenable corps de bâtiment costume courants d'air Croix-Rousse desirer destiné disposition division doit dôme donner élèves internes enfin ensuite époque établissements étage existe façade fâcheux facile femmes fonctions frères fussent général giens Guillotière hommes hôpitaux hospices hygiéniques inconvénients infirmeries intelli jour l'administration l'hôpital l'Hôtel-Dieu de Lyon Lachassagne lades lits M. A. Petit maison manière Marc-Antoine Petit médecins de l'Hôtel-Dieu ment mètres mieux morale moyen nécessaires nombre de malades nombreux opérations paneterie pauvres peuvent pharmacie pharmacien pièces de desserte place plupart premier publique de l'administration quai quatre rangs rapport recteurs réglements religieux remèdes Rhône saint Sacerdos salles de malades salubrité saurait sciences médicales secours serait servants service seulement siècle soins sorte Soufflot souvent surtout surveillance tion visite XVIIe siècle
Popular passages
Page 12 - Place Louis-le-Grand en 1821, page 7 sqq. Cf. également J.-P. Pointe, Histoire topographique et médicale du Grand HôtelDieu de Lyon, Lyon, 1842, p. 14: « L'archevêque de Lyon, le préfet du Rhône et le maire de la ville sont présidents-nés de cette administration. Indépendemment dn ceux-ci, qui ne président jamais, le conseil élit dans son sein un président réel qui dirige la marche générale de l'administration...
Page xxi - Histoire littéraire de la ville de Lyon, avec une Bibliothèque des auteurs lyonnais sacrés et profanes, distribués par siècles, par le père DE COLONIA, de la compagnie de Jésus ; tome Ier, pag.
Page 21 - Dans cet espace de 14 années, la plus grande élévation du mercure dans le baromètre a été de 28 pouces 8 lignes ; la moins grande , de 27 pouces i ligne.
Page xi - Quelque soin enOn que j'apporte à publier tout ce que la société doit de reconnaissance à ces hommes, et pour le bien qu'ils ont fait et pour celui qu'ils font chaque jour...
Page 73 - L'entretien de la propreté, ainsi que la circulation d'un air pur maintenu à un degré convenable de chaleur, sont une condition d'hygiène dont la négligence serait des plus funestes dans un hôpital, et dont l'observation y est, au contraire, la plus sûre garantie contre une trop grande mortalité. Voyons donc quels sont les usages suivis à cet égard dans nos salles de malades. XXII.
Page 33 - ... architecturales bien observées. Il règne à l'intérieur une grande simplicité dans la décoration ; le maître-autel est couronné par la statue de saint François , son patron. Il existe encore deux autels et des tableaux qui ne méritent pas de fixer l'attention. L'église est desservie par deux aumôniers de la maison , et affectée à la fois aux servants et au public , qui néanmoins n'est pas confondu avec ces derniers. Les aumôniers sont chargés , conjointement avec les Dames hospitalières...
Page 207 - Il ne s'agit pas d'absoudre un homme qui s'accuse de ses péchés, mais de lui aider à supporter ceux d'autrui, qui lui pèsent bien davantage.
Page 198 - IV, datée des caleudes de juin i480, veut que les sacrements continuent à être administres aux malades et aux domestiques sans la permission soit de l'ordinaire, soit du sacristain et du chapitre de St-Nizier, et que la sépulture soit accordée à ceux du dehors qui l'auraient demandée, sous la réserve néanmoins des droits des pauvres. Cette bulle veut, en outre, que la maison hospitalière ne soit pas même soumise à la juridiction primatiale, mais immédiatement placée sous la juridiction...
Page 402 - Le pauvre qui va chercher des secours dans un hôpital, a besoin de plus de visites et a le droit d'en recevoir davantage que l'homme aisé qui se fait traiter chez lui.
Page 421 - Or, la loi naturelle ne dit point que la femme soit impropre à l'élude et à la pratique de la médecine, de la chirurgie et de la pharmacie.