Oui, oui, tu le savais, qu'au sortir du théâtre, Un soir dans ton linceul il faudrait te coucher. Lorsqu'on te rapportait plus froide que l'albâtre, Lorsque le médecin, de ta veine bleuâtre, Regardait goutte à goutte un sang noir s'épancher, Tu... Revue des deux mondes - Page 2171836Full view - About this book
| Alfred de Musset - 1841 - 456 pages
...tu le savais, qu'au sortir du théâtre, Un soir dans ton linceul il faudrait te coucher. Lorsqu'on te rapportait plus froide que l'albâtre, Lorsque le médecin , de ta veine bleuâtre Regaidait goutte à goutte un sang noir s'épancher, Tu savais quelle main venait de te toucher. XXVL... | |
| Alfred de Musset - French poetry - 1849 - 428 pages
...bleuâtre, Regardait goutte à goulle un sang noir s'épancher , Tu savais quelle main venait de te loucher. XXVI. Oui, oui, tu le savais, et que dans cette vie...d'aimer, n'est vrai que de souffrir. Chaque soir dans tes chants lu le sentais pâlir. Tu connaissais le monde, et la foule, el l'envie, Et dans ce corps brisé... | |
| Régis de Trobriand - 1860 - 362 pages
...tu le savais, qu'au sortir du théâtre, Un soir dans ton linceul, il faudrait te coucher. Lorsqu'on te rapportait plus froide que l'albâtre, Lorsque...s'épancher, Tu savais quelle main venait de te toucher. XXI. Oui, oui, tu le savais, et que dans cette vie Rien n'est bon que d'aimer, n'est vrai que de souffrir,... | |
| Alfred de Musset - 1852 - 306 pages
...le savais, qu'au sortir du théâtre, Un soir daus ton linceul il faudrait te coucher. Lorsqu'on le rapportait plus froide que l'albâtre, Lorsque le...s'épancher, Tu savais quelle main venait de te toucher. XXVJ. Oui, oui, tu le savais, et que dans cette vie Rien n'est bon que d'aimer, n'est vrai que de souffrir.... | |
| Alfred de Musset - 1857 - 300 pages
...tu le savais, qu'au sortir du théâtre, Un soir dans ton linceul il faudrait te coucher. Lorsqu'on te rapportait plus froide que l'albâtre, Lorsque...d'aimer, n'est vrai que de souffrir. Chaque soir dans tes chants tu te sentais pâlir. Tu connaissais le monde, et la foule, et l'envie, Et, dans ce corps brisé... | |
| Alfred de Musset - 1859 - 340 pages
...tu le savais, qu'au sortir du théâtre, Un soir dans ton linceul il faudrait te coucher. Lorsqu'on te rapportait plus froide que l'albâtre, Lorsque...d'aimer, n'est vrai que de souffrir. Chaque soir dans tes chants tu te sentais, pâlir. Tu connaissais le monde, et la foule, et l'envie, Et, dans ce corps brisé... | |
| Alfred de Musset - 1860 - 300 pages
...tu le savais, qu'au sortir du théâtre, Un soir dans ton linceul il faudrait te coucher. Lorsqu'on te rapportait plus froide que l'albâtre, Lorsque...goutte un sang noir s'épancher, Tu savais quelle maiu venait de te toucher. XXVI Oui, oui, tu le savais, et que, dans cette vie, Rien n'est bon que... | |
| Eugène Crépet - French poetry - 1863 - 778 pages
...tu le savais, qu'au sortir du théâtre, Un soir, dans ton linceul il faudrait te coucher. Lorsqu'on te rapportait plus froide que l'albâtre, Lorsque...d'aimer, n'est vrai que de souffrir. Chaque soir dans tes chants tu te sentais pâlir. Tu connaissais le monde, et la foule et l'envie, Et, dans ce corps brisé... | |
| Alfred de Musset - 1866 - 394 pages
...tu le savais, qu'au sortir du théâtre, Un soir dans ton linceul il faudrait te coucher. Lorsqu'on te rapportait plus froide que l'albâtre, Lorsque...ta veine bleuâtre, Regardait goutte à goutte un s;mg noir s'épancher, Tu savais quelle main venait de te toucher. XXVI Oui, oui, tu le savais, et... | |
| Alfred de Musset - 1867 - 710 pages
...tu le savais, qu'au sortir du théâtre, Un soir dans ton linceul il faudrait te coucher. Lorsqu'on te rapportait plus froide que l'albâtre. Lorsque...d'aimer, n'est vrai que de souffrir. Chaque soir dans tes chants tu te sentais pâlir. Tu connaissais le monde, et la foule, et l'envie, Et, dans ce corps brisé... | |
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