| Marie-Anne Adélaïde Le Normand - Fortune-tellers - 1814 - 730 pages
...Revenus à nous— mêmes, sentant que nous n'avions rien, nous avouant que nous avions reçu, lui sur ia joue gauche , moi sur la joue droite , le plus terrible...soufflet qui se soit jamais appliqué , nous nous mîmes it rire comme deux fous. Le lendemain rien. Le surlendc•waiu , priée, par mademoiselle Dumesnil,... | |
| France - 1857 - 484 pages
...à nous-mêmes, sentant que nous n'avions rien, nous regardant, nous avouant que nous avions reçu , lui sur la joue gauche , moi sur la joue droite ,...lendemain, rien. Le surlendemain, priée, par mademoiselle Duraesnil , d'être d'une petite fête nocturne qu'elle donnait à sa maison de la barrière Blanche,... | |
| Victor Fournel - Anecdotes - 1872 - 642 pages
...à nous-mêmes, sentant que nous n'avions rien, nous regardant, nous avouant que nous avions reçu, lui sur la joue gauche, moi sur la joue droite, le...terrible soufflet qui se soit jamais appliqué, nous nous mimes à rire comme deux fous. Le lendemain, rien. Le surlendemain, priée, par mademoiselle Dumesnil,... | |
| Victor Fournel - Anecdotes - 1872 - 626 pages
...que nous n'avions rif-n, nous regardant, nous avouant que nous avions reçu, lui sur la joue gauéhe, moi sur la joue droite, le plus terrible soufflet qui se soit jamais appliqué, nous nous mimes à rire comme deux fous. Le lendemain, rien. Le sui -lendemain, priée, par mademoiselle Dumesnil,... | |
| Victor Fournel - Anecdotes - 1876 - 630 pages
...gauche, moi sur la joue droite, le plus terrible soufflet qui se soit jamais appliqué, nous nous mimes à rire comme deux fous. Le lendemain, rien. Le surlendemain, priée, par mademoiselle I)umesnîl, d'être d'une petite fête nocturne qu'elle donnait à sa maison de la barrière Blanche,... | |
| France - 1878 - 484 pages
...à nous-mêmes, sentant que nous n'avions rien, nous regardant, nous avouant que nous avions reçu , lui sur la joue gauche, moi sur la joue droite , le...à sa maison de la barrière Blanche, je montai en flacre à onze heures , avec ma femme de chambre. Il faisait le plus beau clair de lune, et l'on nous... | |
| Charles Gueullette - Actors - 1881 - 408 pages
...à nous.mêmes, sentant que nous n'avions rien, nous regardant, nous avouant que nous avions reçu, lui sur la joue gauche, moi sur la joue droite, le plus joli soufflet qui se soit jamais appliqué, nous nous mîmes à rire comme deux fous. » C'était,... | |
| Charles Gueullette - Actors - 1881 - 422 pages
...à nous-mêmes, sentant que nous n'avions rien, nous regardant, nous avouant que nous avions reçu, lui sur la joue gauche, moi sur la joue droite, le plus joli soufflet qui se soit jamais appliqué, nous nous mîmes à rire comme deux fous. » C'était,... | |
| Anatole France - 1927 - 592 pages
...chambre, où nous tombons comme morts. Revenus à nous-mêmes... nous avouant que nous avions reçu, lui sur la joue gauche, moi sur la joue droite, le...appliqué, nous nous mîmes à rire comme deux fous. » (Mémoires de mademoiselle Clairon. Ëdition Barrière. Didot, éditeur, 1888, in-18, pages 53 à... | |
| Anatole France - 1927 - 592 pages
...chambre, où nous tombons comme morts. Revenus à nous-mêmes... nous avouant que nous avions reçu, lui sur la joue gauche, moi sur la joue droite, le...appliqué, nous nous mîmes à rire comme deux fous. » (Mémoires de mademoiselle Clairon. Ëdition Barrière. Didot, éditeur, 1888, in-18, pages 53 à... | |
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