C'est que c'était une armée citoyenne; c'est qu'elle ne se formait plus, comme autrefois, du trop plein des campagnes et de l'écume des villes que des recruteurs débauchés allaient attacher sous les drapeaux... c'était la fleur de la population... Discours du général Foy: précédés d'une notice biographique - Page 370by comte Maximilien Sébastien Foy, comte Maximilien Foy, Pierre-François Tissot, Charles Guillaume Etienne, Antoine Jay - 1826 - 524 pagesFull view - About this book
| Prosper Duvergier De Hauranne - 1864 - 674 pages
...citoyenne; c'est qu'elle ne se formait plus, comme autrefois, du trop plein des campagnes et de l'écume des villes que des recruteurs débauchés allaient...Inaccessibles à la cupidité comme à la crainte, ils allaient au combat, et souvent à une mort cerlaine, en chantant. » Qu'on se place, par la pensée,... | |
| Académie des sciences, des lettres et des arts d'Amiens - 1875 - 452 pages
...indignation enfin lorsqu'il vengeait contre les outrages « cette armée, la fleur de la population, le plus pur sang de la France ; ces hommes sortis...comme de dessous terre au cri de la patrie en danger, la défendant jusqu'au dernier moment, inaccessibles à la cupidité comme à la crainte, courant au... | |
| Académie des sciences, des lettres et des arts d'Amiens - Science - 1875 - 436 pages
...indignation enfin lorsqu'il vengeait contre les outrages « cette armée, la fleur de la population, le plus pur sang de la France ; ces hommes sortis comme de dessous terre au cri de la pateie en danger, la défendant jusqu'au dernier moment, inaccessibles à la cupidité comme à la... | |
| Maurice Girod de l'Ain - France - 1900 - 536 pages
...citoyenne! C'est qu'elle ne se formait plus comme autrefois du trop plein des campagnes et de l'écume des villes, que des recruteurs débauchés allaient...fleur de la population; c'était le plus pur sang de laFrance. ('.es hommes, sortis comme de dessous terre au cri de la patrie en danger, ont défendu la... | |
| Académie des sciences, des lettres et des arts d'Amiens - Science - 1901 - 458 pages
...était la fleur de la population ; « c'était le plus pur sang de la France. Ces hommes « sortis de dessous terre au cri de la patrie en « danger...Inaccessibles à la cupidité comme à la « crainte, ils allaient au combat et souvent à une « mort certaine, en chantant » (1). Resté fidèle, dans... | |
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