Discours du général Foy: précédés d'une notice biographique, Volume 1Includes speeches made to France Chamber of Deputies during 1819-1825. |
What people are saying - Write a review
We haven't found any reviews in the usual places.
Other editions - View all
Common terms and phrases
affaires année appelle armée arrive articles aujourd'hui aurait avaient budget cent chambre charte chef choses citoyens cœur colléges commission comptes conseil considérable constitutionnel corps cours d'autres d'être demande département dépenses députés dernier devant dire discussion doit donner électeurs établi étrangères fonds force forme garde général Foy génie gloire gouvernement grade guerre haut hommes intérêts j'ai jeune jour jugement justice l'armée l'article l'état l'ordre laisser législation liberté lieu lois manière marche marine membres ment messieurs militaires mille ministre monde mort moyen n'était nation nationale nombre nouveau nouvelle officiers ordonnance ordre parler paroles passé patrie payer pays pendant pensée personne pétition peuple place porter pouvait pouvoir premier présente projet propose public publique puissance qu'un question raison rapport réglement reste révolution rien royale s'est s'il SÉANCE sentiments sera servi service seulement soldats solde sommes sort suivant système tion tombe traitement tribune trouve vérité vive voix vote
Popular passages
Page 8 - République, à la conservation de son territoire dans son intégrité, à la défense de son gouvernement, de ses lois, et des propriétés qu'elles ont consacrées ; de combattre par tous les moyens que la justice , la raison et les lois autorisent, toute entreprise tendant à rétablir le régime féodal, à reproduire les titres et qualités qui en étaient l'attribut; enfin de concourir de tout son pouvoir au maintien de la liberté et de l'égalité.
Page 117 - Aucun député ne peut être admis dans la chambre , s'il n'est âgé de quarante ans , et s'il ne paie une contribution directe de mille francs.
Page xxxvi - Nous avons couru à Waterloo comme les Grecs aux Thermopyles , tous sans crainte , et presque tous sans espoir. Ce fut l'accomplissement d'un magnanime sacrifice; et voilà pourquoi ce souvenir, tout douloureux qu'il puisse être, nous est resté précieux à l'égal de nos plus glorieux souvenirs ? » Jemmapes avait été le commencement de sa carrière militaire, Waterloo en fut le terme.
Page 42 - Faisons, messieurs , que le profit d'une mort sublime ne soit pas perdu pour la maison royale et pour la morale publique. Que la postérité ne puisse pas nous reprocher qu'aux funérailles d'un Bourbon, la liberté des citoyens fut immolée pour servir d'hécatombe. La raison d'état le défend , l'honneur français s'en irrite, la justice en frémit.
Page 325 - Chacun professe sa religion avec une égale liberté, et obtient pour son culte la même protection.
Page 467 - Pleurez, Français, pleurez! la patrie est en deuil; Pleurez le défenseur que la mort vous enlève; Et vous, nobles guerriers, sur son muet cercueil Disputez-vous l'honneur de déposer son glaive! Vous ne l'entendrez plus, l'orateur redouté Dont l'injure jamais ne souilla l'éloquence; Celui qui, de nos rois respectant la puissance, En fidèle sujet parla de liberté...
Page 2 - Souvenirs, sentiments, espérances, tout fut, tout est resté commun entre la masse du peuple et notre vieille armée. Aussi les paroles qui s'élèvent de cette tribune, pour consoler de nobles misères, sont-elles recueillies avec avidité...
Page 32 - Enfin l'article 106 ne dit-il pas textuellement que celui qui aura eu connaissance desdits crimes ou complots non révélés, ne sera point admis à excuse sur le fondement qu'il ne les aurait point approuvés, ou même qu'il s'y serait opposé, et aurait cherché à en dissuader leurs auteurs? » Votre commission d'examen savait tout cela...
Page 368 - C'est que c'était une armée citoyenne; c'est qu'elle ne se formait plus, comme autrefois, du trop plein des campagnes et de l'écume des villes que des recruteurs débauchés allaient attacher sous les drapeaux... c'était la fleur de la population ; c'était le plus pur sang de la France. Ces hommes sortis comme de dessous terre, au cri de la patrie en danger, ont défendu la patrie jusqu'au dernier moment. Inaccessibles à la cupidité comme à la crainte, ils allaient au combat, et souvent à...
Page 369 - Savez-vous quel était mon crime? C'était, alors comme aujourd'hui, de ne pas savoir dire mollement ce que je sens avec chaleur, ce que je pense avec énergie. Mon crime, alors comme aujourd'hui, était de poursuivre avec une indignation égale les jacobins de la guillotine et les jacobins de la potence. (Nouvelles acclamations et nouveaux applaudissements...