| Voltaire - 1822 - 576 pages
...maison, qu'ai-je vu chez eux? là vie la plus lahorieuse, la pins frugale, la plus réglée; toutes leurs heures partagées entre les soins qu'ils nous donnaient et les exercices de leur profession austère. J'en'atteste des milliers d'hommes élevés par eux comme moi ; il n'y en aura pas un seul qui puisse... | |
| William Cobbett - Great Britain - 1829 - 936 pages
...adjoining villages (a fact, by-the• " Petulant sept aimers que j'ai ve>u dans la inaison des jesuites qu'ai-je vu chez eux ? La vie la plus laborieuse et la plus frugale, toutes les heures partakes entre les soins qu'ils nous donnoieut ct les exercise de lildr profession austere : j'an atteste... | |
| Joseph Briand - 1843 - 844 pages
...souffrir le martyre quand il le faut '...» « Pendant les sept années, disait Voltaire , que j'ai vécu dans la maison des Jésuites, qu'ai-je vu chez...donnaient et les exercices de leur profession austère, feu atteste des millions d'hommes elevés comme moi. » Le philosophe de Ferney disait encore, écrivant... | |
| Paris (France) - 1850 - 666 pages
...le 7 février 1746 : « Pendant sept années que j'ai vécu dans la maison des Jésuites, qu'ai-jo vu chez eux' « La vie la plus laborieuse et la plus frugale, toutes les heures partagées entre les soin; qu'ils nous donnaient et l'exercice de lerur profession austère. J'en atteste des millier: d'hommes... | |
| Jacques Crétineau-Joly - 1851 - 446 pages
...été plus juste à leur égard. Le 7 février 1746, il écrivait i : « Pendant sept années que j'ai vécu dans la maison des Jésuites, qu'ai-je vu chez eux? la vie la plus laborieuse et l;i plus frugale, toutes les heures partagées entre les soins qu'ils nous donnaient et les exercices... | |
| Jacques-Albin-Simon Collin de Plancy - Jesuit drama - 1853 - 302 pages
...deux mille francs pour tout revenu; il faudra que je vive, que je me 1 Pendant sept années que j'ai vécu dans la maison des Jésuites, qu'aije vu chez...exercices de leur profession austère : j'en atteste des miIliers d'hommes, éIevés comme moi. » MII.Ï AIIU . loge, que je m'habille, moi, ma femme ct mes... | |
| Narcisse Cacheux - 1855 - 576 pages
...471. — Voyez encore dans le protestant Cobbet, les crimes atroces commis en Angleterre. dit-il , qu'ai-je vu chez eux ? La vie la plus laborieuse et la plus frugale , toutes les heures du jour partagées entre les soins qu'ils nous donnaient et les exercices de leur profession austère.... | |
| Constant Grison - 1864 - 928 pages
...le souvenir des bienfaits dont il était redevable aux Jésuites : « Pendant sept années que j'ai vécu dans la maison des Jésuites, qu'ai-je vu chez...et les exercices de leur profession austère. J'en (1) Esprit des lois, liv. IV, chap. 6. atteste des milliers d'hommes élevés comme moi. » Nous pourrions... | |
| Joseph Chantrel - Papacy - 1866 - 1256 pages
...dans leur maison, qu'ai-je vu chez eux? La vie la plus laborieuse, la plus frugale, la plus réglée, toutes les heures partagées entre les soins qu'ils...exercices de leur profession austère. J'en atteste des millions d'hommes élevés par eux, comme moi, il n'y en aura pas un seul qui puisse me démentir.... | |
| France - 1883 - 1048 pages
...besoins du moment. Voici ce qu'il écrivait d'eux en 1756 : « Pendant les sept années que » j'ai vécu dans la maison des Jésuites, qu'ai-je vu chez » eux ? la vie la plus laborieuse, la plus frugale, la plus » réglée, toutes leurs heures partagées entre les soins >> qu'ils nous... | |
| |