| René Louis de Voyer d' Argenson - Democràcia - 1764 - 354 pages
...„ donne de la joye. Je revois en efprit la „ beauté des Campagnes. Dès lors il -me „ femble qu'elles étoient plus fertiles qu'elles „ n'ont...prairies étoient „ plus verdoyantes qu'elles ne font à prc„ fent,que nos arbres avoient plus de fruits. „ II n'y avoit rien de fi doux que d'ehten„... | |
| John Wilde - France - 1793 - 688 pages
...manner : — • 1? " de la joie. Je revoie en eiprit la beauté des cam" pagnes. Des-lors il me femble qu'elles étoient " plus fertiles qu'elles n'ont été...les. " prairies étoient plus verdoyantes qu'elles ne font " à préfent; que nos arbres avoient plus de fruits. " 1l n'y avoit rien de fi doux que d* entendre... | |
| Edouard Fournier - French literature - 1857 - 376 pages
...nous ne pouvons mieux faire que de le reproduire aussi à propos des regrets de ces pauvres pagsans champêtres : « Je revois , dit l'abbé de Marolles...étoit mené sûrement aux champs , et les laboureurs vcrsoient les guérets pour y jeter les blés que les leveurs de taille et les gens de guerre n'avoient... | |
| Édouard Fournier - French literature - 1857 - 382 pages
...aussi à propos des regrets de ces pauvres pagsans chamf lires : « Je revois, dit l'abbé de Marelles, avec un plaisir non pareil, la beauté des campagnes...sûrement aux champs , et les laboureurs versoient les guérets pour y jeter les blés que les leveurs de taille et les gens de guerre n'avoient pas ravagés.... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - Authors, French - 1858 - 434 pages
...nous dit le naïf abbé au commencement de ses Mémoires, me donne de la joie : je revois en esprit, avec un plaisir non pareil, la beauté des campagnes d'alors; il me semble qu'elles étaient plus fertiles qu'elles n'ont été depuis; que les prairies étaient plus verdoyantes qu'elles... | |
| Bibliography - 1862 - 414 pages
...presque charmante, et que nous donnerons tout entière à nos lecteurs : la joie : je revois en esprit, avec un plaisir non pareil, la beauté des campagnes...sont à présent, et que nos arbres avoient plus de fruits. Il n'y avoit rien de si doux que d'entendre le ramage des oiseaux, le mugissement des bœufs... | |
| Mathurin Lescure - France - 1874 - 678 pages
...la joie en douleur, l'abondance en disette, et en un deuil stérile le riant spectacle des champs ? prairies étoient plus verdoyantes qu'elles ne sont à présent et que nos arbres avoicut plus de fruils. Il n'y avoit rien de si doux que d'entendre le ramage des oiseaux, le mugissement... | |
| Gabriel Hanotaux - France - 1893 - 588 pages
...devenu vieux. Je revois en esprit la beauté des campagnes d'alors. Il me semble qu'elles étaient plus fertiles qu'elles n'ont été depuis, que les...étoient plus verdoyantes qu'elles ne sont à présent, que nos arbres avoient plus de fruits. Il n'y avoit rien de si doux que d'entendre le ramage des oiseaux,... | |
| Paul Bonnefon - France - 1903 - 484 pages
...beaucoup trop idyllique, mais qui n'en est pas moins un témoignage bon à citer. Je revois en esprit, avec un plaisir non pareil, la beauté des campagnes d'alors ; il me semble qu'elles étaient plus fertiles qu'elles n'ont été depuis; que les prairies étaient, plus verdoyantes qu'elles... | |
| Paul Bonnefon - France - 1911 - 636 pages
...beaucoup trop idyllique, mais qui n'en est pas moins un témoignage bon à citer. Je revois en esprit, avec un plaisir non pareil, la beauté des campagnes d'alors ; il me semble qu'elles étaient plus fertiles qu'elles n'ont été depuis; que les prairies étaient plus verdoyantes qu'elles... | |
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