Revue des deux mondes, Volume 95François Buloz, Charles Buloz, Ferdinand Brunetière, Francis Charmes, René Doumic, André Chaumeix Au Bureau de la Revue des deux mondes, 1871 - France |
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affaires Allemands assez avaient Aymeric Bertrand bois d'œuvre Bulgares c'était cabinet Casimir Perier chambre Charles X chef chemins de fer chênes chose cœur conseil constitution corps coup d'autres d'Ornis demander Desrosiers devant dire dit-il donner duc de Broglie Églé enfans esprits États-Unis eût événemens faisait femme force forêts François Ier fût futaies garde général gouvernement Grèce guerre habitans Henri III heures hommes Hypéride idées impôts j'ai jamais jeune Joseph jour Ktira l'armée l'assemblée l'ennemi l'esprit l'état laisser Léosthène liberté Luther main maréchal Bazaine Marguerite Mayenne ment Metz millions ministre Mirion Mme Herbin monde municipal n'avait n'était nation nationale parlement passé patriotisme pays pensée peuple peut-être Philippopolis place politique porte pouvait premier presque prince Prusse Prussiens Pulchérie qu'un question raison regard reste révolution rien s'était Santalais semble sentiment serait seul siècle soldats sorte Surgy tête Thiers tion trouve venait Vénus de Milo voyait vrai yeux
Popular passages
Page 620 - Je jure et promets à Dieu, sur les saints Évangiles, de garder obéissance et fidélité au gouvernement établi par la constitution de la République française. Je promets aussi de n'avoir aucune intelligence, de n'assister à aucun conseil, de n'entretenir aucune ligue, soit au dedans, soit au dehors, qui soit contraire à la tranquillité publique; et si, dans mon diocèse ou ailleurs, j'apprends qu'il se trame quelque chose au préjudice de l'État, je le ferai savoir au gouvernement.
Page 603 - Sire , la Charte que nous devons à la sagesse de votre auguste prédécesseur, et dont Votre Majesté a la ferme volonté de consolider le bienfait , consacre comme un droit , l'intervention du pays dans la délibération des intérêts publics. Cette intervention devait être...
Page 824 - De régler ses soins et ses connaissances , et d'employer son zèle à les augmenter. Je ne me lasse point de le redire : mettez toutes les leçons des jeunes gens en actions plutôt qu'en discours ; qu'ils n'apprennent rien dans les livres de ce que l'expérience peut leur enseigner.
Page 650 - II ya quatre ans que vous êtes au ministère ; vous avez réussi au delà de toutes vos espérances; vous n'avez point de rivaux ; le moment est venu pour vous d'être le maître ou de quitter momentanément le pouvoir. Pour vous, il vous vaudrait mieux quelque temps d'interruption: vous vous remettriez tout à fait et vous rentreriez promptement avec des forces nouvelles et une situation renouvelée. Pour le pays, s'il doit faire encore quelque sottise et manger un peu de vache enragée, il vaut...
Page 604 - C'est à la haute sagesse de Votre Majesté qu'il appartient de les apprécier et d'y apporter le remède qu'elle croira convenable. Les prérogatives de la couronne placent dans ses mains augustes les moyens d'assurer cette harmonie constitutionnelle, aussi nécessaire à la force du trône qu'au bonheur de la France.
Page 438 - Si, pour empêcher qu'une place que le roi m'a confiée ne tombât au pouvoir de l'ennemi, il fallait mettre à la brèche ma personne, ma famille et tout mon bien, je ne balancerais pas un moment à le faire.
Page 691 - Où règne en paix le droit vainqueur, Où l'art me sourit et m'appelle, Où la race est polie et belle, Je naturalise mon cœur; Mon compatriote, c'est l'homme!
Page 620 - Les évêques, avant d'entrer en fonctions, prêteront directement, entre les mains du premier Consul, le serment de fidélité qui était en usage avant le changement...
Page 610 - C'eût été certainement un grand bien pour la Franco, et de sa part un grand acte d'intelligence comme de vertu politique, que sa résistance se renfermât dans les limites du droit monarchique, et qu'elle ressaisît ses libertés sans renverser son gouvernement. On ne garantit jamais mieux le respect de ses propres droits qu'en respectant soi-même les droits qui les balancent, et, quand on a besoin de la monarchie, il est plus sûr de la maintenir que d'avoir à la fonder. Mais il ya des sagesses...
Page 304 - Elle doit assurer aux communes et aux départements une juste part dans la gestion de leurs intérêts; mais elle doit conserver aussi au pouvoir protecteur et modérateur qui appartient à la couronne, la plénitude de l'action et de la force dont l'ordre public a besoin. J'ai fait préparer avec soin un projet qui vous sera présenté. J'appelle sur ce projet toutes les méditations de votre sagesse, et j'en confie la discussion à votre amour du bien public et à votre fidélité.