De la méthode d'observation: dans son application aux sciences morales et politiques |
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absolue abstraite Angleterre application Aristote arrive assurément Bacon cause cesse choses circonstances civilisation considérations Convention nationale croyance d'après d'autres défec définitive démocratie Dieu dire diverses doctrine doute école économique écrivain effet égard éléments Émile Saisset Esprit des Lois esprits essen essentiel établir état de puissance exemple existe expérimentale fond générale gouvernement hommes idées inductions l'école l'esprit humain l'état l'étude l'expérience l'histoire l'homme l'humanité l'observation l'ordre moral législation liberté libre arbitre loi de conservation lois manifeste ment mentation méthode d'observation monde Montesquieu montre morales et politiques nature naturel nombre Note observation ordre administratif panthéisme parfois passé pensée peuple philosophie pouvoir présente primitive principe procéder progrès qu'un question raison rapport réalité réelle république reste résultat résulte révolution Revue contemporaine rien s'accomplit s'est saurait sciences morales sciences physiques scientifique sentiment sera seul siècle société sorte souvent statistique surplus syllogisme système théorie thèse tion travail universelle vaine vérité Voilà Xénophane
Popular passages
Page 215 - Avant qu'il y eût des lois faites, il y avait des rapports de justice possibles. Dire qu'il n'ya rien de juste ni d'injuste que ce qu'ordonnent ou défendent les lois positives, c'est dire qu'avant qu'on eût tracé de cercle, tous les rayons n'étaient pas égaux.
Page 179 - Étrange objection ! Parce que je me plais dans l'usage de ma vertu, en est-elle moins profitable, moins précieuse à tout l'univers, ou moins différente du vice, qui est la ruine du genre humain ? Le bien où je me plais change-t-il de nature ? cesse-t-il d'être bien ? Les oracles de la piété, continuent nos adversaires, condamnent cette complaisance.
Page 366 - C'est, Messieurs, que la démocratie dans le Gouvernement est incapable de prudence; c'est qu'elle est de sa nature violente, guerrière, banqueroutière. Avant donc de faire un pas décisif vers elle, dites un long adieu à la liberté, à l'ordre, à la paix, au crédit, à la prospérité.
Page 277 - ... imaginé une manière de constitution qui a tous les avantages intérieurs du gouvernement républicain , et la force extérieure du monarchique.
Page 53 - Tous les bons esprits répètent, depuis Bacon, qu'il n'ya de connaissances réelles que celles qui reposent sur des faits observés.
Page 42 - Il ya si loin de la manière dont on vit à celle dont on devrait vivre, que celui qui tient pour réel et pour vrai , ce qui devrait l'être sans doute , mais malheureusement ne l'est pas, court à une ruine inévitable.
Page 334 - ... les passants qu'il écrase. La question en est venue au point qu'on se demande s'il faut s'applaudir ou s'inquiéter des progrès d'une richesse qui traîne à sa suite tant de misères et qui multiplie les hôpitaux et les prisons autant que les palais.
Page 43 - Il n'ya point, dit-il, de vertu à massacrer ses concitoyens, à livrer ses amis, à être sans foi, sans pitié, sans religion ; tout cela peut faire arriver à la souveraineté, mais non à la gloire....
Page 179 - Mais peut-être que les vertus que j'ai peintes comme un sacrifice de notre intérêt propre à l'intérêt public, ne sont qu'un pur effet de l'amour de nous-mêmes. Peut-être ne faisons-nous le bien que parce que notre plaisir se trouve dans ce sacrifice.
Page 282 - Ce n'est ni pour caresser d'anciennes habitudes , ni par aucun sentiment superstitieux de royalisme, que je préfère la monarchie. Je la préfère , parce qu'il m'est démontré qu'il ya plus de liberté pour le citoyen dans la monarchie que dans la république. Tout autre motif de détermination me paraît puéril. Le meilleur régime social est , à mon avis, celui où...