De la méthode d'observation: dans son application aux sciences morales et politiques |
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Popular passages
Page 215 - Avant qu'il y eût des lois faites, il y avait des rapports de justice possibles. Dire qu'il n'ya rien de juste ni d'injuste que ce qu'ordonnent ou défendent les lois positives, c'est dire qu'avant qu'on eût tracé de cercle, tous les rayons n'étaient pas égaux.
Page 179 - Étrange objection ! Parce que je me plais dans l'usage de ma vertu, en est-elle moins profitable, moins précieuse à tout l'univers, ou moins différente du vice, qui est la ruine du genre humain ? Le bien où je me plais change-t-il de nature ? cesse-t-il d'être bien ? Les oracles de la piété, continuent nos adversaires, condamnent cette complaisance.
Page 366 - C'est, Messieurs, que la démocratie dans le Gouvernement est incapable de prudence; c'est qu'elle est de sa nature violente, guerrière, banqueroutière. Avant donc de faire un pas décisif vers elle, dites un long adieu à la liberté, à l'ordre, à la paix, au crédit, à la prospérité.
Page 277 - ... imaginé une manière de constitution qui a tous les avantages intérieurs du gouvernement républicain , et la force extérieure du monarchique.
Page 53 - Tous les bons esprits répètent, depuis Bacon, qu'il n'ya de connaissances réelles que celles qui reposent sur des faits observés.
Page 42 - Il ya si loin de la manière dont on vit à celle dont on devrait vivre, que celui qui tient pour réel et pour vrai , ce qui devrait l'être sans doute , mais malheureusement ne l'est pas, court à une ruine inévitable.
Page 334 - ... les passants qu'il écrase. La question en est venue au point qu'on se demande s'il faut s'applaudir ou s'inquiéter des progrès d'une richesse qui traîne à sa suite tant de misères et qui multiplie les hôpitaux et les prisons autant que les palais.
Page 43 - Il n'ya point, dit-il, de vertu à massacrer ses concitoyens, à livrer ses amis, à être sans foi, sans pitié, sans religion ; tout cela peut faire arriver à la souveraineté, mais non à la gloire....
Page 179 - Mais peut-être que les vertus que j'ai peintes comme un sacrifice de notre intérêt propre à l'intérêt public, ne sont qu'un pur effet de l'amour de nous-mêmes. Peut-être ne faisons-nous le bien que parce que notre plaisir se trouve dans ce sacrifice.
Page 282 - Ce n'est ni pour caresser d'anciennes habitudes , ni par aucun sentiment superstitieux de royalisme, que je préfère la monarchie. Je la préfère , parce qu'il m'est démontré qu'il ya plus de liberté pour le citoyen dans la monarchie que dans la république. Tout autre motif de détermination me paraît puéril. Le meilleur régime social est , à mon avis, celui où...