Philosophie du droit ecclésiastique: des rapports de la religion et de l'état |
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absolue actes âme arrêt arrivé aujourd'hui aura autorité Benjamin Constant besoin c'est-à-dire catholique cause chef choses chrétien christianisme civile clergé commune conditions conscience conséquent considérée contraire corps cour croyances culte d'être déclaration décrets dernier devant devoirs Dieu différentes dire divine doctrines dogmes doit domination donner effet également elle-même enfin état évêques fond force forme général gouvernement grec hommes humaine imposer indépendance institutions jour juger jusqu'à justice l'âme l'autre l'avenir l'Eglise l'esprit l'Etat l'homme l'ordre l'une laisse Lamennais liberté liberté de conscience libre livre lois Louis lui-même main ment monde morale moyen nation nationale nature nécessaire non-seulement nouveau nouvelle obligé pape parler pays pendant pensée peuples philosophie place pourra pouvoir premier présente prêtres propre protestants public publique puissance puisse qu'à qu'un raison rapports réforme règles reli religieuse religion représente reste révolution rien s'il saint sentiment sera seule siècle social société sorte souverain spirituel système tion trouve vérité
Popular passages
Page 155 - Les doctrines de l'Avenir sur la liberté des cultes et la liberté de la presse, qui ont été traitées avec tant d'exagération et poussées si loin par MM. les rédacteurs, sont également très-répréhensibles, et en opposition avec l'enseignement, les maximes, et la pratique de l'Église. Elles ont beaucoup étonné et affligé le Saint Père; car si...
Page 108 - Nul ne peut être responsable de ce qu'il a écrit ou publié, que dans les cas prévus par la loi. 354. Nul ne peut être empêché d'exercer, en se conformant aux lois, le culte qu'il a choisi. — Nul ne peut être forcé de contribuer aux dépenses d'un culte. La République n'en salarie aucun.
Page 155 - Le Saint-Père désapprouve aussi et réprouve même les doctrines relatives à la liberté civile et politique, lesquelles, contre vos intentions sans doute, tendent de leur nature à exciter et propager partout l'esprit de sédition et de révolte de la part des sujets contre leurs souverains.
Page 96 - Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la loi.
Page 103 - Le droit de manifester sa pensée et ses opinions, soit par la voie de la presse, soit de toute autre manière, le droit de s'assembler paisiblement, le libre exercice des cultes ne peuvent être interdits. La nécessité d'énoncer ces droits suppose ou la présence ou le souvenir récent du despotisme.
Page 181 - ÎS ne pouvant jamais être améliorée, c'est la déclarer la seule bonne, la seule salutaire. Dès lors, la faire adopter à tous devient un impérieux devoir. Nonseulement il est permis, mais il est ordonné d'employer à cette œuvre pieuse les moyens de force, si les moyens de persuasion ne suffisent pas.
Page 114 - Or, c'est une autre vérité consacrée par l'expérience que toutes les fois qu'il existe dans un État une religion qui est celle du plus grand nombre, il faut, ou que le gouvernement contracte avec elle une alliance fondée sur l'intérêt d'un appui réciproque, ou qu'il la détruise, ou qu'il coure le risque d'être détruit par elle.
Page 159 - L'écrit en question n'est pas du tout une boutade d'humeur soudaine et passagère, mais le fruit de mûres réflexions. Il ya près d'un an qu'il est achevé. Ni M. Gerbet, ni Jean, ni Marion, ni aucun de ceux à qui je l'ai lu, n'y ont rien trouvé qui blesse en aucune manière la religion : sur ce point nulles difficultés.
Page 152 - II ya, dit-il (2) , des vérités qui doivent s'établir et des erreurs qui doivent s'épuiser. La liberté de la presse est nécessaire pour ce double but. Elle fera beaucoup de mal sans doute; mais ce mal passager fait lui-même partie des desseins de la Providence. » Aussi en veut-il beaucoup à M.
Page 81 - Que saint Pierre et ses successeurs, vicaires de JésusChrist, et que toute l'Église même n'ont reçu de puissance de Dieu que sur les choses spirituelles et qui concernent le salut, et non point sur les choses temporelles et civiles...