...de juillet, vers le soir. Des hauteurs qui dominent le bassin où serpente le Tibre, nous jetâmes un triste et dernier regard sur la ville éternelle. Les feux du soleil couchant enflammoient la coupole de Saint-Pierre, image et reflet de l'antique éclat de la Papauté elle-même....

...de juillet, vers le soir. Des hauteurs qui dominent le bassin où serpente le Tibre , nous jetâmes un triste et dernier regard sur la ville éternelle....elle-même. Bientôt les objets décolorés disparurent peu-à-peu dans l'obscurité croissante. A la lueur douteuse du crépuscule , on entrevoyait encore...

...l'antique éclat de la Papauté elle-même. Bientôt les objets décolorés disparurent peu-à-peu dans l'obscurité croissante. A la lueur douteuse du crépuscule , on entrevoyait encore ça et là , le long de la route , des restes de tombeaux ; pas un souffle n'agitait la lourde atmosphère...

...jetâmes un triste et dernier regard sur la ville éternclle. Lesfeux du soleil couchant enflammoient la coupole de Saint-Pierre , image et reflet de l'antique...elle-même. Bientôt les objets décolorés disparurent peu-à-peu dans l'obscurité croissante. A la lueur douteuse du crépuscule, on cntrevoyoit encore...

...juillet, vers le soir. Des hauteurs qui dominent le bassin où serpente le Tibre , nous jetâmes un Iriste et dernier regard sur la ville éternelle. Les feux du soleil couchant enflammoient la coupole de Saint-Pierre , image et reflet de l'antique éclat de la Papauté elle-même....

...jetâmes un triste et un dernier regard sur la ville éternelle. Les feux du soleil couchant enflammoient la coupole de Saint-Pierre, image et reflet de l'antique...croissante. A la lueur douteuse du crépuscule, on entrevoyoit encore ça et là, le long de la route, des restes de tombeaux; pas un souffle n'agitoitla...

...dit-il, vers le soir. « Des hauteurs qui dominent le bassin, où ser« pente le Tibre, nous jetâmes un triste et dernier « regard sur la ville éternelle....feux du soleil « couchant enflammaient la coupole de Saint« Pierre, image et reflet de l'antique éclat de la « papauté elle-même. Bientôt les objets...

...mois de juillet vers le soir. Des hauteurs qui dominent le bassin où serpente le Tibre, nous jetâmes un triste et dernier regard sur la Ville Éternelle. Les feux du soleil couchant enflammoient la coupole de Saint-Pierre, image et i eflet de l'antique éclat de la Papauté ellemême....

...de juillet, vers le soir. Des hauteurs qui dominent le bassin où serpente le Tibre, nous jetâmes un triste et dernier regard sur la ville éternelle....lueur douteuse du crépuscule on entrevoyait encore ça et là, le long de la route, des restes de tombeaux; pas un souffle n'agitait la lourde atmosphère,...

...de juillet, vers le soir. Des hauteurs qui dominent le bassin où serpente le Tibre, nous jetâmes un triste et dernier regard sur la ville éternelle....lueur douteuse du crépuscule, on entrevoyait encore ça et là, le long de la route, des restes de tombeaux ; pas un souffle n'agitait la lourde atmosphère,...