Histoire des troubles civils de Fronde (1649-1653): tirée des Mémoires du cardinal de Retz, Volume 2Berche et Tralin, 1879 - France |
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Altesse Royale Argenteuil arrêts assemblées assez avaient avais avez avis Beaufort Bellièvre Bertet Brissac cardinal de Retz cardinal Mazarin Caumartin chambre Charier Chavigni choses commander compagnie conduite Cour croire croyait crut d'Hoquincourt déclaration députés dessein dire disant donner duc d'Orléans effet envoyé eussent eût faisait fût gardes gens Goulas Gourville Guienne homme j'ai j'avais j'en j'étais j'eus jamais jour l'abbé Fouquet l'avait l'Etat l'hôtel-de-ville laisser lendemain liberté Limours m'avait m'en madame de Chevreuse madame la Palatine mademoiselle de Chevreuse Majesté mandé maréchal maréchal du Plessis mème ment monde Monsieur Montrésor n'avait n'était négociation Nemours obligé occasion Palais Palais-Royal Parlement parole particulier passé persuadé peuple pouvait premier président prendre prince de Conti prit propos proposition raison reine répondit résolution Retz rien Rochefoucauld royaume s'était s'il sais sentiment serait Servien servir sieur soir sortir sous-ministres Stenay supplier sûreté Tellier temps-là tion troupes trouver Turenne vérité Voilà voulait
Popular passages
Page 149 - ... et qu'il me répondit ces propres mots : Abus. Tout le monde pense également : mais il ya des gens qui cachent mieux leurs pensées les uns que les autres. La première réflexion que je...
Page 30 - ... égorgés. Ce canevas beau et fort, comme vous voyez, qui fut mis et étendu sur le métier par Caumartin , fut brodé par moi de toutes les couleurs que je «crus les plus revenantes à ceux à qui je les faisois voir.
Page 98 - Prince qui avait enrichi et augmenté de beaucoup sa livrée , au lieu de retourner à Saint-Maur, marcha avec une nombreuse suite, et même avec beaucoup de pompe à l'hôtel de Condé, où il logea. Je suis assuré qu'il ya déjà quelque temps que vous me demandez le détail ou plutôt le dedans de ce qui se passait dans cette grande machine du parti de M. le Prince, dont les mouvements vous ont...
Page 346 - Aussitôt que je fus à cheval, je pris la route de Mauve, qui est, si je ne me trompe, à cinq lieues de Nantes sur la rivière, et où nous étions convenus que M. de Brissac et M. le chevalier de Sôvigné m'attendraient avec un bateau pour la passer.
Page 305 - Ce que je dis paraîtra à beaucoup de gens pour un paradoxe; mais toutes les grandes choses qui ne sont pas exécutées paraissent toujours impraticables à ceux qui ne sont pas capables des grandes choses; et je suis assuré que tel ne s'est point étonné des barricades de M. de Guise, qui s'en fût moqué comme d'une chimère, si l'on les lui eût proposées un quart d'heure auparavant qu'elles fussent élevées. Je ne sais si je n'ai...
Page 99 - Viole donnait , le dernier de ce mois de juillet , dont il s'agit, à un de ses plus intimes amis, des raisons du voyage que madame de Longueville fit le...
Page 150 - Ce pas de clerc que nous fîmes tous, sans exception, à l'envi l'un de l'autre, est un de ceux qui m'a obligé de vous dire quelquefois que toutes les fautes ne sont pas humaines; parce qu'il y en a de si grossières, que des -gens qui ont le sens commun ne les pourraient pas faire.
Page 35 - ... trop de péril à la lui communiquer. Je ne sais si elle ne craignit point que Monsieur ayant fait un coup de cet éclat, ne s'en servît ensuite contre ellemême.
Page 224 - Nous sommes dans une grande tempête, où il me semble que nous voguons tous contre le vent. J'ai deux bonnes rames en main, dont l'une est la masse de cardinal et l'autre la crosse de Paris.
Page 21 - Monsieur ne veut point la perte de l'Etat; ses intentions, dans le fond, ne sont pas mauvaises. Enfin tout, Madame, plutôt que d'accorder à M. le Prince ce qu'il demande. S'il l'obtenait, il n'y aurait plus qu'à le mener à Reims'.