Histoire de la révolution et de l'empire, Volume 3Jacques Lecoffre et Cie, libraires-éditeurs, 1859 - France |
Contents
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Common terms and phrases
10 août accusé applaudissements armées Autrichiens avaient barre c'était Capet Cathelineau cent chef cherchait citoyens Clairfayt club des jacobins clubs comité de salut commandement commission commission des Douze commune conseil conspirateurs constitution convention nationale côté courage crimes Custine d'Orléans Danton Déc déclaration décret défense demanda députés devant Dumouriez émigrés ennemis ensuite faction force française garnison général général de Flers Gironde girondins gouvernement Guadet guerre jacobins Janv Jemmapes jour juges Juillet justice l'armée l'assemblée l'ennemi l'orateur laisser liberté Louis XVI lutte Lyon Marat Mars Mayence mée membres menaces ment mesure mille hommes ministre montagnards Montagne mort n'avait nation Neerwinden parole patrie patriotes Péthion politique pouvait prince de Cobourg prussienne représentants du peuple répu républicains république révolution révolutionnaire Rhin Robespierre rois royalistes royauté s'était salut public sang sauver séance serait soldats Stofflet tion tribunal tribune troupes tyran Vendée Vendéens vengeances vention Vergniaud victoire voix vote
Popular passages
Page 526 - Les jeunes gens iront au combat ; les hommes mariés forgeront les armes et transporteront les subsistances ; les femmes feront des tentes, des habits et serviront dans les hôpitaux ; les enfants mettront le vieux linge en charpie ; les vieillards se feront porter sur les places publiques pour exciter le courage des guerriers, prêcher la haine des rois et l'unité de la République.
Page 200 - En vous parlant peut-être pour la dernière fois, je vous déclare que ma conscience ne me reproche rien , et que mes défenseurs ne vous ont dit que la vérité. Je n'ai jamais craint que ma conduite fût examinée publiquement ; mais mon cœur est déchiré de trouver dans l'acte d'accusation l'imputation d'avoir voulu faire répandre le sang du peuple...
Page 510 - DES RAPPORTS DE LA. RÉPUBLIQUE FRANÇAISE AVEC LES NATIONS ÉTRANGÈRES 118. Le peuple français est l'ami et l'allié naturel des peuples libres. 119. Il ne s'immisce point dans le gouvernement des autres nations ; il ne souffre pas que les autres nations s'immiscent dans le sien. 120. Il donne asile aux étrangers bannis de leur patrie pour la cause de la liberté. Il le refuse aux tyrans.
Page 136 - L'unique but du comité fut de vous persuader que le roi devait être jugé en simple citoyen; et moi, je dis que le roi doit être jugé en ennemi , que nous avons moins à le juger qu'à le combattre , et que , n'étant pour rien dans le contrat qui unit les Français, les formes de la procédure ne sont point dans la loi civile, mais dans la loi du droit des gens.
Page 526 - Les chevaux de selle seront requis pour compléter les corps de cavalerie , les chevaux de trait autres que ceux employés à l'agriculture, conduiront l'artillerie et les vivres.
Page 146 - C'est de graver profondément dans les cœurs le mépris de la royauté, et de frapper de stupeur tous les partisans du roi. Donc, présenter à l'univers son crime comme un problème, sa cause comme l'objet de la discussion la plus imposante, la plus religieuse, la plus difficile qui puisse...
Page 221 - La convention nationale déclare Louis Capet, dernier roi des Français, coupable de conspiration contre la liberté de la nation, et d'attentat contre la sûreté générale de l'État.
Page 171 - Mais j'ai été appelé deux fois au conseil de celui qui fut mon maître, dans le temps que cette fonction était ambitionnée par tout le monde; je lui dois le même service, lorsque c'est une fonction que bien des gens trouvent dangereuse.
Page 315 - Quand les lâches mandataires du peuple encouragent au crime par l'impunité, on ne doit pas trouver étrange que le peuple , poussé au désespoir, se fasse lui-même justice.
Page 216 - L'étranger qui passe s'étonne de leur grandeur; s'il veut y pénétrer, qu'y trouvera-t-il ? des cendres inanimées et le silence des tombeaux. Citoyens, celui d'entre nous qui céderait à des craintes personnelles serait un lâche, indigne de siéger dans le Sénat français; mais les craintes sur le sort de la patrie, si elles supposent quelquefois des conceptions étroites, des erreurs de l'esprit, honorent au moins le cœur. Je vous ai exposé une partie des miennes; j'en ai d'autres encore...