| France - 1799 - 662 pages
...teste, celui de vous désarmer par la ruse, et de veut égorger par la trabison. Encore uns ii'is, gagnez du temps ; le parti royaliste est un, comme le roi pour lequel il comhat: uneporlioo ne peut pas traiter tans l'autre. 'Ju'iN vout prouvent qu'ils sont de bonne-foi,... | |
| France - 1799 - 690 pages
...de V Armée de Scepeaux. 4 mai 1796. JE sens, mon cher ami, quelle est votre position. Votre âme, et celle de votre général, me sont trop connues pour ne pas deviner tons les détails et toutes les circonstances qui vous pressent en ce moment, puisqu'elles vous forcent... | |
| Alph. de Beauchamp - Chouans - 1806 - 488 pages
...républicains et en prévint Puisaye. « C'est un piège , lui répond ce chef. .... Il faut » gagner du temps ; le parti royaliste est un, » comme le roi pour lequel il combat: une por» tion ne peut traiter sans l'autre. » { Mais le général Hoche qui ne voulait que des soumissions... | |
| Alph. de Beauchamp - Chouans - 1807 - 468 pages
...républicains et eu prévint Puisaye. t< C'est un piège lui répond ce chef . . . . Il faut » gagner du temps ; le parti royaliste est un » comme le roi pour lequel il combat : unepor» tion ne peut traiter sans l'autre. » Mais le général Hoche qui ue voulait que des soumissions... | |
| Alph. de Beauchamp - Chouans - 1820 - 608 pages
...Pnisaye de l'ouverture des négociations. « C'est un piége, lui répond ce » chef Il faut gagner du temps. Le parti » royaliste est un comme le roi pour lequel il » combat : une portion ne peut traiter sans » l'autre ». Mais Hoche ne voulait que dcs soumissions séparées ; il faisait attaquer... | |
| Saint Albin Berville, François Barrière - France - 1827 - 380 pages
...ChâtiUon , à t 'armée de Scepeaux. « Je sens , mon cher ami , quelle est votre position. Votre âme et celle de votre général me sont trop connues pour...toutes les circonstances qui vous pressent en ce moment , puisqu'elles vous forcent à entamer des négociations qui amènent toujours dans un piége , toujours... | |
| 1827 - 384 pages
...Châtillon , à l'armée de Scepeaux. « Je sens , mon cher ami , quelle est votre position. Votre âme et celle de votre général me sont trop connues pour...toutes les circonstances qui vous pressent en ce moment , puisqu'elles vous forcent à entamer des négociations qui amènent toujours dans un piége , toujours... | |
| Jean-Julien Savary - Chouans - 1827 - 376 pages
...Châtillon, à l'armée de Scepeaux. « Je sens , mon cher ami /quelle est votre position. Votre âme et celle de votre général me sont trop connues pour...les circonstances qui vous pressent en ce moment, puisqu'elles vous forcent à entamer des négociations qui amènent toujours dans un piége , toujours... | |
| Armand René Du Chatellier - Brittany (France) - 1836 - 348 pages
...l'armée de Scepeaux , il lui disait : « Je sens, mon cher ami, quelle est votre position. Votre âme et celle de votre général me sont trop connues pour...vous pressent en ce moment Votre seule ressource est do chercher à gagner du temps. Encore une fois gagnez du temps; le parti royaliste est un , comme... | |
| Jacques Crétineau-Joly - France - 1841 - 604 pages
...Châtillon, président du conseil de l'Anjou : o Je sens, mon cher ami, quelle est voire position, Votre âme et celle de votre général me sont trop connues pour...une fois, gagnez du temps; le parti royaliste est an, comme le roi pour lequel il combat; une portion ne peut pas traiter sans l'autre. Qu'il» vous... | |
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