Revue historique et archéologique du Maine, Volumes 25-26

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Imprimerie Monnoyer, 1889 - Maine (France)
 

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Common terms and phrases

Popular passages

Page 33 - Je jure de veiller avec soin sur les fidèles de la paroisse qui m'est confiée, d'être fidèle à la nation, à la loi et au roi, et de maintenir de tout mon pouvoir la constitution décrétée par l'Assemblée Nationale et acceptée par le roi.
Page 99 - En tesmoing de ce, nous avons fait mettre nostre scel à ces présentes. Sauf en autres choses nostre droit et l'aulruy en toutes. Donné à Montbason, ou mois de février l'an de grâce mil cccc. cinquante huit, et de nostre règne le xxxvii".
Page 206 - ... et afin que ce soit chose ferme et estable à tousjours, nous avons fait mettre nostre seel a ces présentes, sauf en autres choses nostre droit et l'autruy en toutes.
Page 59 - ... les mains de la nation, à raison d'un édifice par cure et par succursale, seront mis à la disposition des évêques par arrêté du préfet du département.
Page 359 - J'ai l'honneur de vous adresser le programme des questions soumises à MM. les délégués des sociétés savantes en vue du congres de 1889.
Page 119 - Si donnons en mandement par ces mesmes présentes à noz amez et feaulx conseillers les gens tenans nostre court de Parlement...
Page 136 - Signaler les actes notariés du xiv° au xvie siècle, contenant des renseignements Sur la biographie des artistes et particulièrement les marchés relatifs aux peintures, sculptures et autres œuvres d'art commandées soit par des particuliers, soit par des municipalités ou des communautés.
Page 31 - Pape pour en obtenir aucune confirmation; mais il lui écrira comme au chef visible de l'Eglise universelle , en témoignage de l'unité de foi et de communion qu'il doit entretenir avec lui.
Page 236 - Cette reine , comme dit d'Aubigné , « n'avoit de femme « que le sexe ; l'âme entière aux choses viriles , « l'esprit puissant aux grandes affaires , le cœur « invincible aux adversités
Page 138 - IXe. au Xe. siècle, reçurent en fief tant de parcelles du domaine des comtes, sous l'obligation de les servir à la guerre, commencèrent chacun leur établissement dans la campagne, par la construction d'une petite forteresse, ne fût-elle composée que d'une seule tour. La confiance de chaque gentilhomme dans la force de sa demeure, dans la bonté supérieure de son cheval, de son armure défensive , développèrent en lui une valeur qu'on n'avait point aperçue tant qu'il n'avait eu aucun moyen...

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