Revue historique, littéraire et archéologique de l'AnjouCosnier et Lachèse, 1910 - Anjou (France) |
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abri Aimé de Soland Angers angevine Anjou août Archives bataillon Beaufort Beaurepaire botanique Brezé brigands Bulletin monumental Célestin Port Chalonnes chapelle charbon château ci-devant citoyens Comité commandant commune concession Conseil défensif Coudroy culte curé d'Angers d'Ollone département desdits district donner Dovalle Drosophyllum évêque femme Fontevrault Galbaud général Grassin Grille Guépin Henri GRÉGOIRE houille Humidité relative invasion prussienne janvier Jaulnay Jean jour de l'E juillet juin l'abbaye l'abbesse l'Anjou l'Assemblée nationale l'École l'église ladite laine Layon lettre livres Loire Louis Maine-et-Loire maire maison maître marchands matin maximum absolu ment mètres mines Mondon Montjean moyenne du mois municipal Musée notice œuvre officier Parlement de Bretagne paroisse passé Pierre poésies poète porte première président prêtres prieuré puits René René Gasnier reste romantique Saint Saint-Georges Saint-Georges-sur-Loire Saulgé-l'Hôpital Saumur séance seigneur septembre sera seulement sieur soir sol gazonné suivant Suzor Talence tion travaux trouve Vendéens Verdun vicaire XVIIIe siècle
Popular passages
Page 125 - L'Assemblée nationale décrète , 1° que tous les biens ecclésiastiques sont à la disposition de la nation , à la charge de pourvoir , d'une manière convenable , aux frais du culte, à l'entretien de ses ministres et au soulagement des pauvres...
Page 399 - Je ne sais plus ce que je suis ; mais depuis quelque temps je sens ma poitrine agitée ; mon cœur palpite au seul aspect d'une femme; les mots amour et volupté le font tressaillir et le troublent. Enfin le besoin de dire à quelqu'un Je vous aime, est devenu pour moi si pressant, que je le dis tout seul, en courant dans le parc, à ta maîtresse, à toi, aux arbres, aux nuages, au vent qui les emporte avec mes paroles perdues.
Page 277 - Le tocsin qu'on va sonner n'est point un signal « d'alarme, c'est la charge sur les ennemis de la patrie (on « applaudit). Pour les vaincre, Messieurs, il nous faut de « l'audace, encore de l'audace, toujours de l'audace, et la
Page 130 - République française, et en vertu de la loi du 28 ventôse dernier, en présence et du consentement du Commissaire du Directoire exécutif, avons, par ces présentes, vendu et délaissé dès maintenant et pour toujours, Au citoyen Antoine Hœner, imprimeur du département, résidant à Epinal, à ce présent et acceptant, pour lui, ses héritiers ou ayant cause, les domaines nationaux dont la désignation suit : 1...
Page 274 - Le commandant et les troupes de la garnison de Verdun ont l'honneur d'observer à M. le duc de Brunswick que la défense de la place leur a été confiée par le roi des Français, de la loyauté duquel il est impossible de douter. En conséquence, ils ne peuvent, sans manquer à la fidélité qu'ils lui doivent ainsi qu'à la nation et à la loi, remettre la place tant qu'il...
Page 382 - Fait au conseil d'état du roi, sa majesté y étant, tenu à Versailles, le treize novembre mil sept cent soixantedix-huit.
Page 381 - Paris, du 29 mars 1754 , et ouï le rapport du sieur de l'.Averdy, conseiller ordinaire au conseil royal , contrôleur général des finances; le roi étant en son conseil , a ordonné et ordonne que conformément à ce qui se pratique au bureau des finances de la généralité de Paris, dont SM a confirmé et confirme l'ordonnance du 29 mars 1764...
Page 276 - Citoyens, l'ennemi est aux portes de Paris ; Verdun, qui l'arrête , ne peut tenir que huit jours. Tous les citoyens qui défendent le château ont juré de mourir plutôt que de se rendre. C'est vous dire que, quand ils vous font un rempart de leurs corps , il est de votre devoir de voler à leur secours. » Citoyens , aujourd'hui même , à l'instant que tous les amis de la liberté se rangent...
Page 200 - Calonne ; et tel a été le succès de votre conspiration, que les places de Longwy et de Verdun ont été livrées aussitôt que les ennemis ont paru.
Page 138 - ... 2. Ces édifices seront remis à l'usage desdits citoyens, dans l'état où ils se trouvent, à la charge de les entretenir et réparer ainsi qu'ils verront, sans aucune contribution forcée. 3.