 Ayant dit ces mots, elle se tut un peu de temps ; ensuite elle reprit : " Quand je perdis votre père, ce fut une douleur que je crus sans consolation : cependant vous me restiez ; mais je ne sentais qu'une chose alors. Depuis, j'ai pensé que s'il vivait...  Paroles d'un croyant, 1833 - Page 91by Félicité Robert de Lamennais - 1838 - 191 pagesFull view - About this book
 | Félicité Robert de Lamennais - Christian socialism - 1834 - 214 pages
...Et il y avoit dans sa voix une douceur et une tendresse inexprimables. Et la femme à cheveux blancs répondit : Ma fille, Dieu est le maître : ce qu'il...Depuis, j'ai pensé que s'il vivoit et qu'il nous vît en cette détresse, son âme se briseroit ; et j'ai reconnu que Dieu avoit été bon envers lui.... | |
 | Félicité Robert de Lamennais - 1834 - 348 pages
...Et il y avait dans sa voix une douceur et une tendresse inexprimables. Et la femme à cheveux blancs répondit : Ma fille , Dieu est le maître : ce qu'il...consolation : cependant vous me restiez ; mais je ne sentais qu'une chose alors. Depuis , j'ai pensé que s'il vivait et qu'il nous vît en cette détresse... | |
 | François-René vicomte de Chateaubriand - English literature - 1836 - 374 pages
...avait dans sa voix une douceur et « une tendresse inexprimables. « Et la femme à cheveux blancs répondit : » Ma fille , Dieu est le maître : ce...votre père , ce fut une » douleur que je crus sans consolations :cepen» dant vous me restiez; mais je ne sentais qu'une » chose alors. » Depuis , j'ai... | |
 | François-René vicomte de Chateaubriand - 1837 - 354 pages
...voix une douceur et une » tendresse inexprimables. « Et la femme à cheveux blancs répondit : Ma a fille, Dieu est le maître : ce qu'il fait est bien » fait. » Ayant dit ces mots , elle se lut un peu de >> temps; ensuite elle reprit: » Quand je perdis votre père , ce fut une douw leur... | |
 | Félicité Robert de Lamennais - Philosophy - 1837 - 352 pages
...dit : Ma mère, vous n'avez pas été toujours dans ce dénuement... Et la femme à cheveux blancs répondit : Ma fille, Dieu est le maître : ce qu'il...sentois qu'une chose alors. Depuis, j'ai pensé que s'il vivoit,et qu'il nous vît en cette détresse , son âme se briseroit ; et j'ai reconnu que Dieu avoit... | |
 | François-René vicomte de Chateaubriand - 1837 - 362 pages
...avait dans sa voix une douceur et une » tendresse inexprimables. » Et la femme à cheveux blancs répondit : Ma » fille, Dieu est le maître : ce...reprit: » Quand je perdis votre père , ce fut une dou» leur que je crus sans consolations : cependant » vous me restiez ; mais je ne sentais qu'une... | |
 | Félicité Robert de Lamennais - 1839 - 726 pages
...Et il y avait dans sa voix une douceur et une tendresse inexprimables. Et la femme à cheveux blancs répondit: Ma fille, Dieu est le maître : ce qu'il...consolation : cependant, vous me restiez ; mais je ne sentais qu'une chose alors. Depuis, j'ai pensé que, s'il vivait , et qu'il nous vit en celte détresse... | |
 | François-René vicomte de Chateaubriand - 1843 - 592 pages
...avoit dans sa voix une douceur et une « tendresse inexprimables. « Et la femme à cheveux blancs répondit : Ma « fille, Dieu est le maître : ce qu'il fait est bien fait. « Ayantdit ces mots, cl le su tut un peu de temps : « ensuite elle reprit : « Quand je perdis votre... | |
 | Antonin Roche - 1845 - 766 pages
...lit il y avait dans sa voix une douceur et une tendresse inexprimables. Et la femme a cheveux blancs répondit : — «Ma fille , Dieu est le maître :...consolation ; cependant vous me restiez ; mais je ne sentais qu'une chose alors. Depuis j'ai pensé que, s'il vivait et qu'il nous vît en cette détresse,... | |
 | Saucié - 1850 - 272 pages
...inexprimables. Et la femme à cheveux blancs répondit : Ma fille, Dieu est le maître ; ce qu'il a fait est bien fait». Ayant dit ces mots, elle se tut un peu de temps, ensuite elle reprit : i « C'était une nuit d'hiver, etc. » Ce n'est pas le grand nombre, c'est le choix des détails... | |
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